Vidéo et mots pour expliquer mes créations recyclées. Ce site est encore en construction.

Rien de mieux qu’une vidéo pour vous donner un aperçu de ce que sont mes créations recyclées. Mes explications sont placées ci-dessous. À lire pour en savoir plus.

Mes créations recyclées vont se faire attendre un peu. Ce site n’est qu’un essai, pour avoir une idée de son allure en ligne. C’est aussi un appel à l’aide à deux débutants qui veulent nager dans l’océan du web. Alors, merci pour votre indulgence et votre patience, en attendant que ma barque prenne le large.

Les images présentées  sont celles des œuvres de Steve Johnson, les miennes suivront après. Dans cette étape, elles sont encore telles que je les ai empruntées et ne sont pas encore sur ma table de recyclage ou de métamorphoses. Prochainement, vous les verrez sous tout un autre jour.

Je suis Amol. J’aurais pu avoir un autre nom. Question de hasard et de loterie, ce qui revient au même. Sexe indéterminé. Cela n’a de sens que dans les rapports amoureux ou pour les psys, émules de Freud, le prude. Ce que je veux dire par là, c’est qu’une œuvre artistique n’est pas sexuée, même si elle est en général au féminin.

Pendant que j’y suis, j’ai essayé l’écriture inclusive, pour que mâle et femelle soient indistincts, mais franchement ce n’est pas tenable à la longue. C’est toute la langue qui devrait être radicalement révisée.

Quant à mon âge, mettons qu’il s’étend de 7 à 77 ans, car l’art est intemporel. Le nombre de mes années n’a aucune importance ni un rapport avec mes œuvres. Ni ma vie non plus. Ce qui devrait vous intéresser, ce sont surtout l’originalité de ma démarche artistique et les œuvres que j’arrive à en extraire.

Les biographies n’ont de sens que pour l’histoire de l’art et pour des individus rusés qui achètent des œuvres pour les mettre dans le coffre de leur banque. Ce sont des spéculateurs qui ont compris que l’art peut être plus rentable que la pierre ou les actions des multinationales.

Vous avez certainement compris que je ne suis pas sur les traces d’un certain Andy Warhol, maître ès spectacles, et des séries. Mais, je partage avec lui les variations chromatiques que je peux décliner de la même œuvre. Il n’en est pas l’inventeur, mais cela et les médias ont fait sa réputation. L’idée de sa « Factory » n’est que la réactualisation des ateliers des maîtres d’antan, comme Léonard de Vinci et tant d’autres.

Ce site n’est qu’une esquisse, disons un essai pour me faire la main avant de mettre en ligne le mien. C’est que je suis nul en informatique.

Les images publiées pour cet essai sont libres de droits. Elles sont sur le site Pexels : https://www.pexels.com/fr-fr/ que je remercie d’exister. Je remercie également et surtout  l’artiste Steve Johnson, que je ne connaissais pas, et dont je viens de découvrir les œuvres. Qu’il sache que j’habite un pays africain, qui malheureusement ne me permet pas de lui faire un petit don en dollars. Il tient à ce que ses sous restent sur son sol et ne s’envolent pas ailleurs.

En plus de la publication de la vidéo de ses œuvres, je ne peux que l’inviter à manger un délicieux couscous, si un jour, il passait près de chez moi. Delacroix et Matisse l’avaient fait, pas chez moi, bien sûr, mais à Tanger. Ils en étaient repartis, avec la lumière plein les yeux. Leur peinture ne fut plus jamais la même.

J’arrête mon bavardage pour dire comment je travaille, ce qui est plus intéressant. Ce n’est pas du tout compliqué. Au lieu de me creuser la tête pour trouver de nouvelles œuvres, je fais un choix dans l’immense gisement de celles des autres. Sans gêne, mais avec respect, je les copie tout simplement. Mais, ce n’est là qu’un départ.

Chaque œuvre retenue va être passée par un premier filtre, celui de ma sensibilité et un second, celui de mes connaissances artistiques. Enfin, je me mets au travail sur mon portable qui me sert d’atelier ambulant.

La difficulté de la création artistique n’est plus dans les complications techniques ni le temps qu’il fallait par le passé. Désormais, c’est la grammaire des formes et des couleurs, qu’il faut bien maîtriser pour arriver à créer des œuvres originales. Sans cela, on ne sait pas ce qu’on fait.

Pour revenir à mon approche, disons que je ne crée rien ex nihilo. Je ne fais que recycler ce qui existait déjà, pour lui donner une autre vie par des métamorphoses. Je prends des images existantes comme matière première, et je me mets à les triturer, les pétrir et les teindre avec d’autres couleurs et lumières. Parfois, je ne travaille que sur un détail isolé d’une image.Au terme de mes interventions alchimiques, on aurait de la peine à reconnaître les œuvres originelles. J’aurais pu ne rien vous dire de ma technique. Mais, je suis honnête, et c’est la raison que les titres de mes créations comportent toujours la mention d’après tel ou tel artiste.

Je ne fais pas que recycler ce qui existait, mais le reste viendra en son temps. Il me faut d’abord avoir une maîtrise de cet espace déroutant pour moi. Un clic, et voici mes créations en ligne, à la portée du monde entier ! J’avoue qu’en surfant sur les pages du web, je n’avais pas pensé à ce que pouvait ressentir un auteur, qui en une fraction de seconde sait que son travail est déjà de l’autre côté de la planète. Il faudra m’y faire, et c’est la raison de cet essai.

Vous allez peut-être me dire qu’il existe déjà des cohortes d’artistes qui ont fait dans le recyclage. Je ne le sais que trop bien. La chose est bien connue depuis Picasso, Braque. Et que dire de Duchamp et son fameux urinoir ? Mais, nous aurons peut-être l’occasion d’en discuter. Pour revenir à mon recyclage, ce ne sont pas des objets glanés ailleurs que je recycle dans mes créations, mais les œuvres d’autres artistes tout simplement. On pourrait penser que je fais du plagiat, mais attendez de voir pour en juger.

Vous voulez en savoir plus sur le langage plastique, sans passer vous casser la tête et passer des années dans une école de Beaux-Arts ? Vous n’avez qu’à étudier un tout petit livre. Petit en nombre de pages, mais très riche en enseignement. « Le spirituel dans l’art ». Son auteur n’est autre que W. Kandinsky, l’inventeur de l’art abstrait. Vous verrez qu’il sera question de tous les arts classiques ou modernes, et de leurs règles fondamentales. En grand maître, il vous donnera les leçons, les seules qui soient vraiment indispensables pour être un artiste. C’est la base, le reste n’est que ce que vous en ferez. Un autre livre qui mérite d’être étudié, est celui de P. Klee: “Théorie de l’art moderne”.

Vous ne savez pas ? Je mets en ligne mon site, sans en dire un mot à mes relations, ni même à mes plus proches. Ainsi, j’aurais peut-être des avis et des commentaires dénués de toute hypocrisie, dont notre entourage n’est pas avare. Il ne l’est que s’il est question du porte-monnaie.

Que me reste-t-il à vous dire ? Beaucoup et rien. Tout dépendra de vos réactions et de vos questions. Si Sarah et moi, sommes aidés pour faire évoluer notre site, nous continuons. Mais, si le message enfermé dans notre bouteille jetée à la mer, ne nous renvoie que le bruit des vagues nous cesserons de ramer pour pêcher ou prêcher la bonne parole aux poissons. Voilà tout.

Amol avec la plume et l’humour de Sarah, comme complice.

Pour nous contacter : artafocal@gmail.com

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